On s'applique en septembre à finir tout les aspects de la piscine. La création de coffres de rangement pour tout le matériel gonflable et les accessoires d'entretien. Un habillage du local technique avec une porte quasi invisible pour y accéder. Une nouvelle terrasse à l'avant de la piscine pour profiter du ruissellement causé par le débordement. La livraison ce matin du volet de piscine en kit qui nous pose quelques problèmes, à savoir que le volet est finalement un peu trop large par rapport à la largeur de piscine. le volet étant fait sur mesure, il est impossible de le retailler sans le renvoyer en usine. Il y a donc demain une grande réunion au sommet avec le pisciniste en chef, le Boss et ma petite personne pour trouver une solution à ce problème de 24 m de long.

On connaissait après la pluie le beau temps, mais quand on peut avoir pendant la pluie le beau temps   comme cet après midi à Pelone, on est en plus gratifié d'un merveilleux arc-en-ciel qui s'élance face à nous.

Le mois de septembre est fructueux  pour le chantier de Pelone. D'autant plus que les ouvriers ayant négocié des jours de vacances supplémentaires, ont proposé au boss de venir travailler un certain nombre de samedi en plus. C'est donc tout bénéfice pour la productivité du chantier qui tourne 6 jours sur 7 avec une équipe de maçons et une équipe de menuisiers en parallèle depuis début septembre. Vous pouvez apercevoir derrière moi des poutres de béton fraichement coulées du jour qui vont me permettre de réaliser une terrasse Zen/VIP/ Panoramique qui sera déconnectée de la maison et qui profitera du bruit de rivière ultra relaxant produit par le débordement incessant de la piscine. Mon idée était de faire la terrasse le plus en contre bas possible pour être à l'abri des regard depuis la terrasse principale. C'est plutôt raté puisqu'à ma grande surprise j'ai découvert hier midi après un tour de bateau dans la baie que les poutres de soutènement jaillissent

Depuis la rentrée, on avance très bien coté pierres, comme quoi les années se suivent mais ne se ressemblent pas. Le mur qui longe la route ci-dessus est fini jusqu'à l'escalier qui même au terrain de Mollky/pétanque. Les jardinières à l'avant de la maison sont finalisées. Coté bois,  le stockage bois surnommé l'abribus par ma belle-mère est maintenant couvert. L'équipe "bois" a pris un peu de retard sur l'équipe "pierre" pour des raisons d'approvisionnement en planches mais elle va sans doute se rattraper cette semaine. De mon coté il faut que je planche sur l'éclairage extérieur et de nouvelles arrivées d'eau pour faciliter l'arrosage.

Pourquoi les câbles finissent toujours par s'emmêler ? Que ça soit derrière la télé ou comme dans mon cas dans un simple tiroir. On se retrouve toujours avec une étonnante imbrication de câbles qui semblent défier la raison. Tout cela c'est à cause de l'anthropie, un mot crée dans le milieu du 19ème siècle pour désigner et mesurer le chaos vers lequel la nature tend. La nature aime le chaos. Pas nous. Voilà pourquoi on se bataille régulièrement à dénouer des fils. Notre ordre n'est pas celui de la nature. La nature aime l'impossible. Pas nous. Elle fera donc tout pour créer une organisation qui nous offre un maximum de possibilité de création redonnant ainsi une forme solidaire et organique à ce qui n'était auparavant que des câbles électroniques. La nature ne classe pas, elle combine. Conceptualiser est la force de l'esprit. Agir est la force de la nature. Voilà pourquoi à l'ouverture du magasin Au bonheur des dames , le directeur de l'établi

Ils sont de retour depuis lundi matin 8h00. Les 3 maçons et les 3 menuisiers sont à pied d'œuvre pour finir ce qu'il reste à finir et que disparaissent toutes traces de béton ou de parpaings. Même le Boss est venu en personne. Ca scie, ça perce, ça taille, ça bétonne. Je retrouve Mon Pelone d'avant la trêve des vacances. Avec une bonne partie de l'équipe que pour moi, j'adore. Je leur ai trouvé plein de trucs à faire pour bien commencer la rentrée. De notre coté gâteaux au chocolat beurre salé hier et gâteaux aux figues blanches aujourd'hui.