Une guerre qui nous donne des boutons
Et voila ti pas que 2 guerres des boutons sortent ensemble à l'écran. Mais quel est ce besoin impérieux de réinterpréter un roman, qui a déjà été mis en image avec succès par Yves Robert. Vue la synchronisation des sorties avec les droits d'auteurs qui viennent de tomber dans le domaine public on en voit qu'une. L'appât du gain. Bien sûr on pourrait se dire que les auteurs ont senti le besoin de moderniser l'oeuvre et de la mettre au goût du jour. Et là on ne peut qu'être déçu. Car si il est indéniable que l'oeuvre a été mise au goût du jour, c'est malheureusement par le déni de la nudité des enfants, jugée aujourd' hui obsène. Ces 2 réinterprétations, en nous reculottant tous ces bambins, ne vont décidément pas vers la modernité, mais la pudibonderie ambiante. La censure est de retour au nom du politiquement correct qui fait vendre. Les expos des artistes contemporains sont censurées dans les musées (qui turbinent maintentant comme la télé à l...