Embrasse-moi sur la bouche
L’homme exprime toute sa virilité lorsque qu’il domine et la
femme toute sa féminité lorsqu’elle séduit. Une femme au pouvoir est un homme,
un homme qui séduit est une femme. Valérie est une femme qui veut obtenir le
pouvoir par la séduction, elle séduit donc l’homme le plus puissant de notre
pays, Ségolène elle cherche depuis un bail le pouvoir à sa source, c’est à dire
dans une démocratie auprès des électeurs et de leurs suffrages.
Valérie c’est la bonne veille méthode : C’est moi qui
porte la culotte et surtout si on veut me le faire avouer je démens avec un
c’est « JUSTE FAUX » qui
sonne de manière éponyme le matin sur France Inter. Ainsi si Ségolène te
prend par la main sur la tribune,
je t’embrasse sur la bouche. Ou plutôt en vraie maitresse femme, je
t’intime de me rouler un patin. Tout ça le 6 mai ,le jour de mon anniversaire.
Hollande d’accord mais alors la Trierweiller, tu parles d’un cadeau.
De l’autre coté on la bande des «femmes qui en ont ».
Avec Martine, Cécile et Ségolène. Elles, elles vont au turbin pour s’émanciper
et faire valoir leurs idées, plutôt que de se répandre dans le PAF dans une
cacophonie du genre : je suis la première-journaliste-dame de France qui
ne se mêle de rien avant d’intriguer sur l’oreiller. Cette Valérie est pleine
de contradiction, il y a des
hommes qui aime ça, moi ça m’énerve. Un jour elle trouve que « Première dame », ça fait
ringard, et le lendemain, comme elle a dit ça un peu en l’air, elle se fait appeler
Première dame. Bon tout cela est truculent et nous montre une fois de plus que
les hommes de pouvoir sous estiment toujours le pouvoir des femmes. Bon pour la
Trierweiller on a décidé avec Martine, Ségolène et Cécile de l’introniser finalement
«première twitteuse de France ». Ca lui va comme un gant, vous ne trouvez
pas ? Et pour le coup ça fait vraiment moderne. On va aussi se cotiser
pour lui offrir des cours de guitare. Non mais oh faut quand même pas croire
qu’il suffit de dandiner son cul pour faire de la politique.
Commentaires