A ciel ouvert

A quand le rien ?
Derrière leurs parois de verre
Les montres tournent pour nous dire
Que le vent n’est pas là
Alors que chaque jour
Je le sens sur ma joue

Les violons vibrent
Et le son de leurs cordes
N’est pas vain
Ils sont portés comme moi
Dans les airs
Pour trouver un chemin

Les feuilles de la canopée
Sont les racines d’une terre
Qui n’est pas la notre
Notre univers est atmosphère
Et nos  têtes sont plantées dans le ciel

Nos esprits sont tendus et fragiles
Et se cherchent
Comme les racines des arbres

Qui tâtonnent dans le noir

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