Parquet condamné sans appel
C'est parti dès lundi matin pour la suite des travaux. La priorité de l'entrepreneur se porte sur le parquet qui va être remplacé au RDC sans déposer la cuisine (on va couper autour au raz des pieds). On ne touche pas non plus au cellier.
Notre salle de bal à manger va profiter pleinement de cette rénovation après 12 ans de bons et loyaux services, le salon beaucoup moins abimé profitera aussi de cette rénovation pour des raisons de continuité.
La pose du parquet massif avait été depuis le début mal faite en créant un tuilage important. Ce qui nous a conduit à ne pas payer ce lot à l'époque. Aujourd'hui cet effet de vague indésirable nous empêche de poncer le parquet pour le rénover. ( on va surtout poncer les cimes et pas les vallées). Depuis l'achat de la Roquette je voulais un parquet à lames larges (18 ou 19 cm) plus moderne qui a été abandonné car trop difficile à poser. L'histoire nous a montré que même sur des lames plus étroites le fiasco était quand même au rendez-vous. J'ai donc opté cette fois-ci pour des lames de 18 plus mates et plus claires ce qui donnera un rendu moins jaune (mais un peu rosé) en contrecollé. Cela pour éviter que le bois ne travaille cette fois après la pose comme cela a été le cas avec le bois massif. Il lui faut aussi une épaisseur suffisante pour pouvoir être poncé généreusement après une décennie supplémentaire d'utilisation. J'avais dans l'idée de le poser dans l'autre sens (perpendiculaire à la pose existante) mais le parqueteur ne semble pas être de cet avis. Le parquet sera de nouveau collé et pas flottant.
L'état de la chape après une première journée d'arrachage ne laisse aucun doute quant à la nécessité de recouler une nouvelle chape (au moins 10 jours de séchage). Etant donné la productivité de l'équipe (que j'ai réuni avant mon départ pour une réunion sur la Version 5 des travaux ) de 6m2 le premier jour cette première étape risque de prendre un peu de temps pour déposer et rechaper les 100m2 de parquet du RDC.
Cette constatation nous a confortés dans l'idée qu'il n'était plus question de vivre à la roquette avant février.
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