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Affichage des articles du juillet, 2015

Fondation Louis Vuitton

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Découvrir un nouveau musée est toujours une expérience. Au delà des effets d'annonces et des dires. Rien de mieux qu'une petite visite en personne pour se rendre compte de l'extravagance de la nouvelle petite folie de Bernard Arnaud. Je découvre le bâtiment en arrivant par le jardin d'acclimatation (si on a prépayé ses billets sur internet c'est possible) ce qui était notre cas. Le bâtiment est élancé et dégage une certaine poésie en laissant découvrir une longue et douce cascade qui s'écoule à ses pieds et qui semble par l'érosion de l'eau avoir dégagé en partie le sous-sol de ce tout nouvel édifice. A force de se contorsionner on a du mal à imaginer par où entrer dans ce lieu. Le lieu a d'ailleurs deux entrées sur chaque flanc. L'un par la rue, l'autre par le jardin. Le hall d"entrée est décevant, non seulement par sa taille assez modeste mais aussi par son allure. La banque d'accueil est triste comme un guichet BNP relooké,...

Moment déco

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On est en total stress puisque la météo annonce un orage. On vient donc juste de rentrer tous ce que vous pouvez voir des images ci dessus

Le chantier de l'été : épisode 2

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Le chantier de l'été : épisode 1

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La chambre bergerie

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On a fait encore un peu de shopping Hier . Achat des rideaux et d'un petit plaide pour finaliser l'ambiance de la chambre bergerie .

Plus de suspense pour les suspensions

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Je sais que c'est encore un peu tôt pour acheter tous les meubles, mais comme dit la bonne du curée : " J'voudrais bien, mais j'peux point " . J'ai donc fait une razzia à Weldom "notre magasin de bricolage" sur tout ce qui ressemblait à une suspension en rotin, conformément au cahier de style de Pelone que j'ai mis au point suite à une réunion entre moi et moi-même avec comme d'habitude un avis consultatif de Bobby. Le comité de style ainsi formé a voté hier à l'unanimité l'achat massif de lampes avant le 14 juillet afin de couper l'herbe sous le pied à toutes les autres décoratrices d'intérieur qui ne manqueront pas d'arriver sur l'île en masse entre le 14 juillet et le 15 août. Ouf une bonne chose de faite. J'ai pris tout ce qu'il y avait de joli. Maintenant si mes copines designeuses veulent s'acheter des lustres en fer forgé, je leur laisse de bon cœur.

"Tiramisu perdu" TM

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C'est parti pour confectionner un Tiramisu, sauf que je réalise trop tard que j'ai bien pensé au Mascarpone , mais que j'ai complètement zappé  les boudoirs . Pas question de retourner au Carrefour contact pour si peu alors que tous les juilletistes débarquent sur notre ile de beauté . Il me faut donc improviser . Pourquoi ne pas utiliser du pain sec trempé dans le café, plutôt que des boudoirs,  et dépenser l'argent que j'aurai investi dans les boudoirs dans une bonne lampé de rhum . Ainsi est né le "Tiramisu perdu " TM , qui se sert sans complication dans un pot de confiture recyclé . Recette 4 oeufs 150 gr de sucre 1 sachet de sucre vanillé 250 gr de mascarpone du café 3 cuillères à soupe de rhum blanc agricole On sépare le blancs des jaunes sans autre forme de racisme On arrête de battre les blancs que quand ils sont bien montés On fouette les 4 jaunes avec le sucre et le sachet de sucre vanillé On ajoute tout le pot de  mascarpone e...

L'imposteur

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Voilà un petit chaud-froid, très bon et rapide à faire. Son nom, il le tient de de son look de hamburger et de ses piques de club sandwich, alors qu'il n'est ni l'un ni l'autre. Mais là où notre imposteur se révèle être un maitre de la tromperie, c'est qu'il n'est pas non plus une salade Caprese ( tomate, mozzarella, basilic) relookée. Son cœur est formé de 3 noix de Saint-Jacques juste poilées dans l'huile d'olive. Le mélange est ensuite déglacé avec de la soy sauce, ce qui donne au jus un aspect de vinaigrette au vinaigre balsamique ce qui finit de parfaire la duperie. La recette : Achetez une belle tomate par personne (plutôt plus grosse que d'habitude et plutôt plate). Rincez les noix de Saint-Jacques congelées pendant quelques minutes dans de l'eau bien chaude puis bien égoutter. Faites chauffer à feux vif la poêle avec l'huile d'olive. Snackez les noix jusqu'à ce qu'elles soient dorées de chaque coté (plus ou mo...

Revivre

Courir à en mourir Partir sans devenir Vivre sans avenir Rire sans rougir Lire pour écrire Ecrire sans subir Relire pour se souvenir Revivre pour le plaisir

Jo, reviens nous vite !

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Depuis que les parents sont partis et que nous divertissons nos belles et jeunes Corsettes, le chantier est au point mort. Pas l'ombre d'un ouvrier depuis presque 2 semaines. Mais comme dirait Chichi "On ne peut pas être au four et au terrain " . Bref c'est le jour et la nuit en comparaison du mois de juin pendant la présence de Jo où le chantier s'activait comme une fourmilière corse sur un verre sale de whisky sour. Allo maman bobo, quand t 'es pas là sur le chantier c'est pas beau. Heureusement Jo et Benoist reviennent le 8 juillet pour reprendre un peu tout ça en main. Parce que cette maison de Pelone, il faut quand même que ça avance. On n'a pas toute la vie devant nous.

Torogachie

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Il était d'abord accroché Boulevard Pereire, puis légué à la fondation Victor Hugo qui jugea bon de lui donner une nouvelle vie sur le mur crépi de la villa des Hameaux de Propriano. L'histoire de ce tableau est d'abord l'histoire d'une œuvre au format assez modeste puisque que le principe de construction de cette œuvre est de découper dans un magazine un œil, de le coller au centre du tableau et d'imaginer finalement la chair qui va avec. Le principe est donc de réaliser un tableau qui mixe le collage (que l'on remarque à la trace blanche rectiligne au dessus de l'œil dans l'œuvre agrandie) donnant une réalité et une intensité propre à la photographie et un travail au pinceau noir aux courbes franches ne résultant d'aucun travail préalable. Regarde-moi dans les yeux et je te dirais qui je suis. Emerge de cet œil humain, un corps de taureau dans l'arène. Même regard autre forme. Même conscience autre vie. Ce taureau aux yeux verts me re...

San Andreas

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Rien de tel qu'un bon petit film de catastrophe dans la climatisation d'une salle de cinema un soir de canicule. Si Paris nous embarrasse pour son choix de films et de salles, il n'en va pas de même pour Propriano qui propose San Andreas ou rien pour la semaine. Ca nous va bien. Ce film trahit un certain malaise de l'Amérique qui vit aujourd'hui une rupture entre la Silicon Valley qui capte une richesse de plus en plus importante grâce à ses leaders du net tel que Facebook, Twitter, Google ou des constructeurs électroniques comme Apple qui caracole en tête des capitalisations boursières et de l'autre un monsieur tout le monde hors de ce monde mais pourtant juste là. San Fransisco est l'archétype de la ville californienne qui croit en la cité comme bien commun où se côtoie sans se voir les SDF qui profitent de conditions favorables (si l'on peut dire) par rapport à d'autres villes américaines et des PDG milliardaires et leur aéropage de dire...