Le plastique c'est pas fantastique
Ca y est, je craque. Les 3 semaines de confinement ont eu raison de mon aversion pour les fleurs en plastiques. Elle étaient là au sous-sol en attendant un future jeu avec des équipes à noms de fleurs ou pour agrémenter un déguisement. J'ai bien essayé une branche naturelle de laurier thym la semaine dernière, mais je n'allais pas déplumer tout mon laurier surtout avec la perspective de sortie de confinement qui glisse comme du savon de Marseille.
J'ai donc ponctionné cette fois une branche sur la récente taille du noisetier dans le patio. Et c'est là que j'ai décidé de brouiller les pistes et d'abandonner mes principes en ajoutant à cette composition végétale sans fleur une boule d'hortensia qui ne fanera jamais. A la guerre comme à la guerre, il faut bien composer avec les contraintes du moment. Mon idée est de faire comme le salon Camille Albane à notre entrée qui se fait livrer toutes les semaines des fleurs artificielles différentes. Je vais donc composer avec mon stock existant pour que les bouquets restent coûte que coûte éphémères.
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