Quand le French Cancan brise le quant-à-soi

Après le grand succès des Mister-Paris à la cérémonie d'ouverture, un déplacement s'imposait à la Défense Arena pour aller soutenir nos nageurs dans nos tenues emblématiques et en particulier célébrer la nouvelle idole nationale Léon Marchand.

Comme nous nous étions déjà déplacés pour les qualifications il y a quelques jours, nous avions ainsi une meilleure compréhension du site et surtout de ses abords. 

Mister Paris est un concept, un costume, je dirais même une certaine idée de la France indépendamment de ceux qui s'y glissent dedans. L'essentiel est d'être à la hauteur de l'uniforme, des bottes et des hauts de forme.

Notre goût pour l'uniforme républicain revisité ne pouvait que séduire ceux qui l'ont aussi choisi pour une plus longue durée que nous. Certes dans une teinte plus neutre et un accoutrement plus fonctionnel en cas d'intervention musclée. Mais l'idée reste la même servir les intérêts de notre belle république. Notre démarche n'est néanmoins pas sans risque puisque nous avons failli perdre l'un des nôtres dans la désescalade hasardeuse des tribunes de l'Arena à la fin de la compétition. On se demande si Bobby ne finira pas plus bleu que son costume à force de trébuchements catastrophiques pendant ces jeux. Comme vous pouvez le constater la crainte de se faire refouler par la police pour cause de chapeau Tour Eiffel létal s'est mué en une volonté de communier avec notre police en faisant avec eux quelques pas de French Cancan. Seul bémol Jean-Baptiste Marteau nous a pris en photo mais n'a pas voulu poser avec nous (c'est bien le seul).

Enfin une arche à l'échelle de notre triomphe

A droite Damien l'homme de l'ombre à qui l'on doit toutes ses belles photos et les photos prises avec les téléphones portables de nos innombrable groupies. Contrairement à ce que pourrait faire croire ce post on n'attire pas que la Police.

"Christophe viens, je sais que c'est toi qui l'a reconnu, mais il a dit non, c'est non !"