La fin d'une année est toujours propice aux bilans. Une fois de plus la guerre des blogs donne raison à Bobby dont la régularité et le débit sont au rendez-vous pour une année 2015, où il ne produit pas moins de 220 articles, si on inclut le tout dernier article de l'année qui réfère à celui-ci. Comme on dit " Y'a pas photo" . Il est loin le temps où j''espérais croiser le fer avec cette bête de blog. Bobby c'est le Pujadas des infos familiales, le Laurent Delahousse de vos week-end en quête d'une petite photo de famille. Le blog de Bobby finit avec une écrasante part de production de 52% suivi du blog de Cindy avec un plus modeste 32%, mais qui reste encore la seule alternative vraiment solide dans les blogs familiaux. Le rendez-vous de la guerre des blogs se devait de saluer la venue de nouveaux acteur qui depuis la naissance de leurs progénitures et de migrations saisonnières ont vu le jour. On peut noter la percée du blog 3 mois à la R

Star Wars est un mythe vivant. Le septième épisode qui vient de sortir en salle en est la preuve. Cet épisode semble revenir au fondamentaux de la série. On ne peut que s'en réjouir. Les valeurs humaines semblent reprendre la main sur les machines et les clones en série. Le recentrage de la saga s'opère par un simple tir de laser méga puissant, d'une méga étoile noire qui va détruire en quelques secondes toute la République. On tire ainsi en quelques minute un trait lumineux sur des épisodes de la série qui ne prenaient un peu trop au sérieux avec des discussions à n'en plus finir au Sénat, mêlées à des intrigues de palais stériles. La République toute entière disparait dans cette épisode sans que personne ne s'en émeuve particulièrement. Après V dans Vendetta qui fait exploser le Parlement de Londres à la fin du film, c'est au tour de Star Wars de renouveler l'audace de pulvériser la République, pour passer à autre chose. Le mot république est de

L'Hermine est un très joli film tout en finesse qui nous plonge dans les audiences d'une salle de tribunal par le truchement de son président, le personnage central du film. Non seulement le film évite avec bonheur les écueils du film de ce genre, en évitant toute caricature. Mais en plus le film a le mérite de nous rappeler, à force de lavage de cerveaux par les films américains, à quoi ressemble un procès dans notre république. Au delà de son exactitude le film nous offre de découvrir les coulisses d'un procès sans tomber dans le romanesque. On assiste à la pause déjeuner des jurés, aux explications indispensables, avant que la sonnerie ne retentisse et que la cour fasse son entrée. L'enjeu du procès est en soi sans grande importance, même si le crime jugé, infanticide à coups de rangers, donne plutôt dans l'horreur et dans le désir de vengeance. L'objet du film n'est pas de trouver le coupable mais de montrer comment la justice opère, tous les jours

Le film The lobster est un film étrange. On pourrait le classer dans les films fantastiques, par cette idée qui consiste à transformer en animal après 45 jours tous les célibataires qui n'arriveraient pas à se remettre en couple, mais il y a quelque chose dans ce film qui le fait dérailler dans un genre atypique plus proche du mouvement surréaliste que de la veine fantastique. Dans un film fantastique, la métamorphose aurait la part belle. Dans The lobster la salle des métamorphoses des célibataires incurables en animaux de leur choix n'est pas mis en scène. Cet élément narratif pourtant très fort est complètement délaissé par le réalisateur. Voilà bien un signe que ce film n'est pas ce qu'il prétend être. Contrairement au fantastique, le surréalisme nous conduit droit dans monde onirique, inoffensif pour le vivant qui par la magie du rêve finit toujours pas se réveiller indemne. Le film, ainsi que la lassitude de ses personnages n'apporte pas d'enjeu, pas

Elles sont arrivées . Les pierres qui vont parer la façade de la maison ressemblent à ça. C'est pas gagné d'avance . J'attends avec impatience, comme vous chers lecteurs, de voir ce que ça  va donner une fois assemblées . Look vieille bergerie garanti .

La salle de bain Maquis est entrain de se finir, il ne manque plus que le mur en bois sur la droite de la photo. Le meuble double vasque a été commandé cette semaine chez Cocktail Scandinave à Palaiseau avec les autres meubles de salle de bain et les lits superposés de la chambre horizon. Tout sera livré en janvier à la roquette puis déménagé en février vers la Corse avec d'autres meubles déjà stockés au sous-sol ainsi que le piano blanc qui attend bien sagement chez Beuscher boulevard Beaumarchais. Comme vous pouvez le remarquer, chaque salle de bain combine de manière originale la palette restreinte de matières sélectionnées pour l'ensemble de la maison. Dans les 2 cas ci-dessus. SdB Maquis : Monolith noir, Galet vert mur, porte en Bois SdB Crique * : Monolith Blanc , Galet bleu, mur fenêtre en Bois Je suis quand même bien contente pendant ces 2 mois d'absence d'avoir laissé dans chaque pièce sur le chantier des petites fiches comme celle ci-dessus p