Machu Picchu


De l’autre côté de la fenêtre
S’étant la lumière de l’être
Qui nous permet de vivre
Sans mourir

Sur les hauteurs des Andes
Se trouvent exsangues
Les restes de ce que nous serons

Chaque pierre est une transcription
Chaque amas une volonté
Chaque mur un défi
Qui trahit la peur de ne pas durer

Quand le vent souffle
Sur les hauts du Machu Picchu
Le désir de vivre nous enchante
Alors que nous hante cette peur
Indicible d’avoir construit en vain
Un monde dont il ne restera rien

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