Peinture de façade
Non seulement Imran nous repeint la cabane en bois mais en plus il nous repeint le mur, plus très blanc, en arrière plan pour nous permettre de profiter au mieux de la rénovation de cette cabane de jardin. Celle-ci faisant partie de la première impression que vous donne la roquette quand vous poussez la porte de la courette.
J'avoue que la pointe d'arrogance dans le regard d'Imran n'est pas sans me rappeler celle d'un Jackson Pollok défiant l'objectif en affirmant qu'il existe au delà de ce qu'on pense de lui.
Imran s'est transformé, à mes yeux, lui même en œuvre d'art, prouvant une fois de plus que l'art n'est que la restitution d'un mouvement figé par la peinture dans l'instant. Dans ce cas précis sa salopette qui malheureusement pour lui ne vaudra pas 130 millions de dollars. La différence entre Imran et Jackson est que l'un est sans doute conscient du désordre auquel il appartient ce qui fait de lui un artiste là où Imran subit la combinaison chaotique du monde dans lequel il vit.




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